mercredi 24 octobre 2007

PROJET 3

MASSAI CULTURAL ECOTOURISM

KENYA



1. Présentation du projet :

Nom : Massai Cultural Ecotourism CBO (Community Based Organisation)
Adresse postale: PO box 321 Narok KENYA
Tel : Portable : + 00 254 723050482
Mail : davidkaleku@yahoo.com
Nom de la personne responsable : David Kaleku
Date de création de la structure : Août 2007
Chiffre d’affaire par an : très variable
Capacité d’accueil : Une dizaine de personnes.

Description de la structure (type et environnement) :

David Kaleku habite dans un village traditionnel massai, le village de la famille Kaleku, qui compte environ 80 personnes. Ce village se situe à Empura, qui englobe plusieurs villages massai. Empura se trouve à une cinquantaine de kilomètres de Narok, ainsi qu’à 70 kilomètres du fameux parc animalier du Massai Mara. David souhaite développer une activité touristique centrée autour de safaris à pied et de la visite de son village massai. Les bénéfices ainsi récoltés servent à financer des projets communautaires, en premier lieu l’agrandissement de l’école primaire et l’achat de matériel scolaire. Il a pour cela créer son association, le Maasai Cultural Ecotourism CBO, qui a été certifiée par l’Etat kenyan en août 2007.


2. Historique du projet :

David est la seule personne du village parlant l’anglais. Il a donc mis à profit ses compétences linguistiques et a travaillé quelques temps dans le secteur du tourisme en dehors de son village. En 2001, il rencontre une touriste française, Zhora, qui lui conseille de créer sa propre activité dans son village.
Grâce au bouche à oreille et à l’aide de Zhora, David reçoit ses premiers touristes et développe une activité de safari à pied au départ de son village. Il invite également les touristes à rester quelques jours dans son village afin de connaître la culture massaie, ses traditions, mais aussi les projets communautaires qu’il met en place (visite de l’école, du puits…)

Objectifs du projet aujourd’hui ? Développement et réalisations prévus ?

Après avoir reçu sa certification, David doit se concentrer maintenant sur la promotion de son activité. Son village est idéalement situé près de la route menant au Massai Mara. Les touristes partent généralement de Nairobi en direction du parc sans prendre le temps de s’immerger dans la culture massaie de la région. Il y aurait donc un grand potentiel touristique à développer. Doter David d’une formation sur la gestion d’une activité touristique serait utile, car il ne peut compter que sur lui-même et sur son sa petite expérience.
David aurait également besoin d’un site Internet afin de faire connaître son activité.
En terme de projets communautaires, David souhaite réinvestir l’argent dans l’éducation des 190 enfants de l’école primaire d’Empura. Il aimerait pouvoir engager un professeur supplémentaire, car ils ne sont que deux pour le moment (David épaule lui-mêmes les professeurs certains jours) . La création d’un hôpital fait aussi partie de ses priorités. L’hôpital le plus proche est à Narok, ce qui est trop loin pour la majorité des habitants.


3. Caractéristiques du projet :

Attraits de la région :
Le parc du Massai Mara. Le village de David est entouré d’importantes ressources en faune et flore, d’où l’attrait du safari à pied. Narok est à 3 heures de Nairobi en bus. Il est aussi entouré de magnifiques chaînes de montagnes, avec des sources d’eau chaude.

Quelles sont les activités proposées aux touristes ?
- Le safari à pied : possibilité de le faire dans la journée ou sur plusieurs jours. David propose un circuit en trois jours, allant de son village aux portes d’entrée du Massai Mara ;
- Safari en véhicule à l’intérieur du parc Massai Mara avec David comme guide ;
- Visite des projets communautaires, dont l’école du village ;
- Visite de son village massai : repas massai, danses traditionnelles, apprendre à vivre comme les habitants du village…

Y a-t-il des guides ? Combien ? Cela dépend du nombre de touristes. David peut emmener d’autres personnes du village en safari.

Y a-t-il des employés ? Combien ?
Lors des safaris à pied, David prévoit un cuisinier, un garde de sécurité pour les camps la nuit ainsi que des porteurs de sacs et de nourriture.

Type d’hébergement :
Il est possible de camper sur le vaste terrain du village. David souhaite aussi construire une petite hutte massaie en guise d’hébergement. Lors des safaris à pied, le camp s’établit soit dans la nature, soit dans un autre village massai.

Accès : Depuis Nairobi, prendre le bus pour Narok, 3 heures de route. David attend ses clients à la station d’essence BP de Narok.

Les tarifs :

Safari à pied :

Frais du guide : 4500 Shillings Kenyans ( ShK) par personne par jour
Petit déjeuner : 500 ShK
Déjeuner / Dîner : 1000 ShK
Camping : 700 ShK par pers. Par nuit
+ 300 ShK par pers. Par nuit pour le garde de sécurité qui patrouille la nuit autour du camp.

Safari dans le Massai Mara :

Le véhicule est loué par David à une agence de Narok.
Véhicule : 12000 ShK par jour.
Frais du guide : 4500 Shillings Kenyans ( ShK) par personne par jour
Pour un safari dans le parc de plusieurs jours, David ramène les touristes dans son village chaque soir :
Camping dans son village : 700 ShK par pers. Par nuit
Petit déjeuner : 500 ShK
Déjeuner / Dîner : 1000 ShK


Droits d’entrée dans le parc :
40 US dollars par personne par jour pour les étrangers
Pour le guide : 1000 ShK par jour

Il est aussi possible d’aller rendre visite à David sans forcément réserver un safari. David accueille des touristes simplement intéressés par la culture massaie et par ses projets. Les tarifs sont les suivants :
Activités dans le village :
Camping dans son village : 700 ShK par pers. Par nuit
Petit déjeuner : 500 ShK
Déjeuner / Dîner : 1000 ShK
Danse traditionnelle : 1000 ShK par prestation
Visite des projets communautaires : gratuit.
Des donations de matériel scolaire (cahiers, crayons à papier, stylo à bille) ainsi que des vêtements pour enfants sont les bienvenues.











mardi 11 septembre 2007

PROJET 2

OKAVANGO POLER TRUST
BOTSWANA

1. Présentation du projet :

Nom : Okavango Polers Trust Seronga
Adresse postale: PO box 24 Seronga Botswana
Tel : Fixe : 00 267 6876 861
Fax : 00 267 6876 039
Mail : okavangodelta@botsnet.bw
Site Web : www.okavangodelta.co.bw
Nom de la personne responsable : c’est un groupe d’habitants qui est à l’origine du projet, il n’y a pas de responsable unique. Il est possible de contacter la réceptionniste, Madigah.
Date de création de la structure : 1998
Chiffre d’affaire par an : très variable
Capacité d’accueil : 31 lits et un terrain de camping.

Description de la structure (type et environnement) :

C’est une structure entièrement gérée par les habitants de la ville de Seronga. Située au nord du Delta de l’Okavango, à quelques dizaines de kilomètres de la frontière namibienne, cette ville est idéalement placée pour une virée de quelques jours dans le delta. Les 75 polers, ou « guides rameurs », à l’origine du trust, emmènent les touristes à bord de leurs mokoros, petites pirogues, afin d’approcher de près les hippopotames et de camper sur l’une des îles du Delta. Tous les bénéfices sont ensuite partagés avec la communauté.

2. Historique du projet :

Le trust a vu le jour en 1998. La communauté de Seronga, à l’origine du projet, voulait créer une activité d’écotourisme, qui serait gérée par les membres, et dont les bénéfices seraient reversés à la communauté. Pour cela, ils ont obtenu une aide financière de la part de l’ African Development Foundation. Les futurs « guides rameurs » ou polers ont suivi une formation afin d’obtenir le diplôme de guide et sont en formation continue afin d’améliorer leurs compétences.

Objectifs du projet aujourd’hui ? Développement et réalisations prévus ?

L’objectif premier est de faire connaître ce lieu aux différentes organisations touristiques. A l’heure actuelle, les 75 polers ne travaillent pas à temps plein car la demande n’est pas assez importante ni régulière.

3. Caractéristiques du projet :

Attraits de la région :
Le Delta de l’Okavango fait la renommée du Botswana. Ce Delta a l’avantage d’être proche des frontières zambienne et namibienne.

Quelles sont les activités proposées aux touristes ?
Excursion en mokoro pour la journée ou pour plusieurs jours avec camping sur le Delta. L’excursion comprend aussi une « bush walk » ou promenade dans le bush pour aller à la rencontre d’autre animaux, comme les éléphants.

Dîner traditionnel botswanais.

Type d’hébergement :
5 chalets de 5 personnes chacun
3 rondavels (petites huttes) de 2 personnes chacune
1 terrain de camping

Accès : Il faut se rendre à Mbiroba camp, qui se situe à deux kilomètres au sud de Seronga. C’est là que se trouvent la réception ainsi que les hébergements. En vous êtes en voiture, traversez la rivière Okavango avec le bac qui se trouve à Mohembo. Puis, roulez vers le Sud, vers Seronga. Le camp est indiqué à partir de là.

Les tarifs :
Une journée en mokoro : 220 pulas
Une nuit en camping (à Mbiroba ou sur le delta) : 44 pulas
Transfert de Seronga jusqu’au lieu d’embarcation : 66 pulas
Une nuit en rondavel : 110 pulas / pers.
Une nuit en chalet :
Pour une personne : 250 pulas
Pour deux personnes : 350 pulas
Pour trois personnes : 450 pulas
Pour quatre personnes : 520 pulas
Pour cinq personnes : 590 pulas

Location de matériel :
Tentes :
De deux personnes : 33 pulas
De trois ou quatre personnes : 44 pulas
De cinq personnes : 55 pulas















lundi 2 juillet 2007

Afrique du Sud

Projet N. 1 :
Lebo’s backpackers



Présentation du projet :

Nom : Lebo’s backpacker
Adresse : Orlando West, corner Pooe and Ramushu street, house nber. 10823 A Soweto Afrique du Sud
Tel : Fixe : 00 27 11 936 3444
Portable : 00 27 8 48 51 86 81
Fax :
Mail : lebo@sowetobackpackers.com
Site Web : http://www.sowetobackpackers.co.za/
Nom de la personne responsable : Lebo Malepa
Date de création de la structure : 1999
Capacité d’accueil : 20 personnes
Nombre de touristes : par an : 650 5(dont 90% entre 18 et 30 ans).
Description de la structure (type et environnement) : auberge de jeunesse avec chambres simples, doubles, dortoirs et camping.


Historique du projet :

Ce projet a été créé uniquement par Lebo Malepa en 1999. Le but était de créer un endroit capable de faire venir les touristes intéressés par l’histoire et le quartier de Soweto.
Cette auberge de jeunesse est la seule de Soweto. C'est donc le seul endroit ou l'on peut se loger à des prix raisonnables. Le but est d'impliquer la population locale au sein de cette activité.
Cette activité a crée des emplois locaux.


Caractéristiques du projet :

Soweto est un quartier emblématique de la lutte contre l’Apartheid et où ont vécu deux prix Nobel de la Paix : Nelson Mandela et Desmond Tutu. Soweto est proche de Johannesburg, point de départ de nombreuses attractions et circuits touristiques.

Les activités majeures du backpacker sont des sorties à vélo, des tours en voiture ou des ballades à pieds pour visiter les principaux endroits de Soweto. Le personnel peut également vous emmener à Gold Reef City, ancienne mine d’or, la visite du bidonville voisin de Kliptown et de l’association SKY qui propose des activités pour les enfants. Enfin, il est possible de faire le tour des shebeens (bars) et des nights-club de Soweto.

Accès par la route depuis Johannesburg. Le backpacker propose d’aller chercher les touristes débarquant à l’aéroport de Johannesburg, pour 150 Rands par transfert.

Les tarifs :
En dortoir : 75 Rands / personne
Camping : 55 Rands / personne
Chambre double : 180 Rands la chambre
Chambre simple : 120 Rands par personne
Chambre avec deux litres séparés : 95 Rands par personne

dimanche 1 juillet 2007

Le projet « Itinéraires solidaires » est né de notre rencontre avec des acteurs du tourisme solidaire au Swaziland et en Afrique du Sud où nous vivons depuis 2 ans.

Les objectifs du projet sont :

Ø d’identifier d’autres initiatives de tourisme solidaire en Afrique australe et Afrique de l’Est ;

Ø de rencontrer les acteurs ;

Ø de promouvoir ces initiatives (rédaction d’articles pour les presses écrites françaises et sud-africaines, site Internet, reportages vidéo et photos).

Nous avons rencontré Lebo Malepa en mai 2005 peu de temps après nous être installés à Johannesburg en Afrique du Sud. Lebo a fondé la première auberge de jeunesse de Soweto, le célèbre township (ghetto sud-africain) situé au sud-ouest de Johannesburg. Il a développé une activité touristique qui favorise les relations entre les touristes et les habitants de Soweto. Ainsi il propose de visiter le township à vélo, de se restaurer dans des établissements traditionnels ou bien de se désaltérer dans un shebeen (bar traditionnel interdit sous le régime de l’Apartheid). Il fait quotidiennement travailler la communauté locale pour la maintenance des vélos, l’entretien de l’auberge de jeunesse et le transport de ses clients.

Cependant, la grande majorité des touristes visitent Soweto en bus via des sociétés privées qui ne leur proposent qu’un tour succinct du township et aucun contact avec les habitants des quartiers visités.

Depuis 2 ans, nous encourageons les nombreux touristes et les communautés internationales de Johannesburg à utiliser les services de Lebo pour visiter Soweto. Nous l’avons aidé à être référencé dans des guides touristiques internationaux (Lonely Planet, Guide du Routard) et sud-africains (Coast to Coast), ainsi qu’à communiquer sur son activité (nous l’avons mis en contact avec une journaliste du quotidien français 20 minutes qui a écrit un article sur lui et son initiative en juin 2006).

Nous avons pris goût à la promotion d’initiatives touristiques bénéficiant aux populations locales et nous souhaitons en identifier davantage en Afrique australe et Afrique de l’Est. Nous avons déjà visité une initiative au Swaziland (Swazi quad) et avons identifié des initiatives au Lesotho et à Madagascar qui seront les premières visitées dans le cadre du projet « Itinéraires solidaires »

Qui sommes nous?

Julie Ligny

Après des études de Sciences Politiques à Bordeaux et un Master en Gestion des Risques dans les Pays du Sud, je suis partie effectuer mes stages de fin d’étude en Afrique du Sud. Suite à deux stages tous deux enrichissants à la Mission Economique de Johannesburg et à l’Organisation Internationale des Migrations de Pretoria, j’ai décidé de rester un peu plus longtemps dans ce pays. Ainsi, j’ai été embauchée à Saint-Gobain où j’ai travaillé dans le domaine de l’adduction d’eau potable pour l’Afrique australe pendant un an. Durant ces deux années, j’ai visité une très grande partie de l’Afrique du Sud, qui m’a permis d’apprécier ses différentes cultures mais aussi ses contrastes. La rencontre avec Lebo, et d’une manière plus générale avec les habitants du township de Soweto, a été déterminante dans le choix du thème du voyage. Connaître un pays au travers de ses habitants et de leurs modes de vie est selon moi la meilleure manière de connaître une culture.

Thibault Jeannin

Depuis mon premier voyage au Zimbabwe en 1996, j’ai souhaité revenir en Afrique australe et redécouvrir ces paysages somptueux et ces populations chaleureuses qui m’avaient fasciné à l’époque. Mon diplôme d’école de commerce en poche, j’ai eu l’opportunité de travailler deux ans à Johannesburg au sein du bureau régional de l’Agence Française de Développement. J’ai vécu pleinement mon expérience en Afrique du Sud et fait des rencontres inoubliables, comme celle avec notre ami Lebo. Ces rencontres en appellent de nouvelles.

Grâce au projet Itinéraires Solidaires, j’espère donner envie au plus grand nombre de visiter l’Afrique dans le respect de l’identité socio-culturelle de ses habitants et de l’environnement.

Quelle serait une meilleure alternative que la découverte de l’Afrique à travers les initiatives de ceux qui la connaissent le mieux, les Africains ?

Le tourisme : une activité économique qui bénéficie surtout aux pays riches

En atteignant 12% du PIB mondial et 8% de l'emploi (soit 200 millions de personnes concernées), le tourisme est devenu une activité incontournable de l'économie mondiale. Le nombre de touristes dans le monde, ne cesse d'augmenter : il est passé de 25 millions en 1950 à 700 millions en 2002, et l'Office Mondial du tourisme prévoit 1.6 milliard de voyageurs en 2020.

Depuis le début des années 80, les pays du Sud sont de plus en plus concernés par le développement du tourisme international. Il est indéniable que le tourisme offre de nouvelles perspectives de développement et de créations d'emplois dans les régions pauvres et structurellement faibles. Sous certaines formes, le tourisme peut être un moteur de l'économie, et une source de devises non négligeable pour nombre de pays en voie de développement.

Cependant les pays du Nord restent les principaux bénéficiaires (compagnies aériennes, tours opérateurs, chaînes hôtelières.). Le tourisme se développe trop souvent au détriment des populations locales des régions d'accueil, en particulier quand il est mal maîtrisé (hyper concentration des infrastructures, renchérissement du foncier, surexploitation, emplois précaires, travail des enfants, prostitution, hausse du prix de l'eau, etc..). Si les bénéfices reviennent surtout à des acteurs du Nord, les maux du tourisme sont d'abord le lot des pays hôtes.

Le tourisme solidaire

DEFINITION

Le tourisme solidaire regroupe les formes de tourisme « alternatif » qui mettent au centre du voyage l'homme et la rencontre et qui s'inscrivent dans une logique de développement des territoires.

L'implication des populations locales dans les différentes phases du projet touristique, le respect de la personne, des cultures et de la nature et une répartition plus équitable des ressources générées sont les fondements de ces types de tourisme

Union Nationale des Associations de Tourisme

Le tourisme responsable est axé sur la connaissance des réalités locales, de la culture, des modes de vie et aussi de la situation politique et sociale de tel ou tel groupe. Il alterne en général activités culturelles et rencontres avec des acteurs locaux (association, projets sociaux.).

Le tourisme équitable s'inspire des principes du commerce équitable. Il insiste plus particulièrement sur la participation des communautés d'accueil, sur les prises de décisions démocratiques, sur des modes de production respectueux de l'environnement et sur une juste rémunération des prestations locales.

Le tourisme solidaire s'inscrit à la fois dans une perspective " responsable" et "équitable" mais plus directement associé à des projets de solidarité : soit que le voyagiste soutienne des actions de développement, soit qu'une partie du prix du voyage serve au financement d'un projet de réhabilitation ou d'un projet social.


Il insiste particulièrement sur :
- La sensibilisation des voyageurs et la préparation au voyage,
-Les possibilités de contact avec la population locale : rencontres, activités culturelles, logement chez l'habitant.
- Les problématiques environnementales : sensibilisation et responsabilisation des voyageurs, gestion des

déchets, gestion des ressources.
- L'implication dans un ou plusieurs projets de développement local déterminés par la population d'accueil
- Les retombées économiques locales
Mais c'est une solution encore onéreuse : Le tourisme solidaire s'adresse à des voyageurs habitués à partir en groupe et en "voyage organisé" . Il est donc, malheureusement, loin d'être accessible à tous les budgets.

Notre but est de partir à la découverte de l’Afrique australe dans le respect des populations et de leurs cultures, en participant à des activités touristiques qui promeuvent les cultures et appellent à un comportement responsable.

Durant notre long séjour en Afrique du Sud, nous avons rencontré des acteurs du tourisme solidaire et participé à leurs projets. Suit le récit de deux de ces activités, en Afrique du Sud et au Swaziland.

ASSIMILER PLUSIEURS TERMINOLOGIES DE TOURISME

Culturel : enrichissement culturel du voyageur au contact du patrimoine

Durable : lié au concept de pérennité

Ecotourisme : intégration du tourisme dans la gestion de l’environnement

Equitable : limpidité et transparence dans la gestion nécessaire à une juste rémunération des acteurs

Solidaire : relation de solidarité entre les touristes et la population d’accueil